Critique Album : Donnie
can you see the birds “Donnie” par Donnie Castle Première mixtape du jeune producteur suédois Donnie
I’ve got your name written here on a rose tattoo
Les Dropkick Murphys sont probablement l’un des groupes les plus emblématiques du punk celtique. Issus de Boston et extrêmement fiers de leurs origines irlandaises, leur 8ème album « Signed and Sealed in Blood », sorti en 2013, est l’un de leurs albums les plus populaires, mais est-il si bon que cela ?
On retrouve dans cet album tout ce qui a fait la réussite du groupe : Des morceaux de punk empreints de sonorités irlandaises. Le mélange des genres marche superbement bien dans cet album avec les associations de guitare électrique avec du gain bien gras comme on aime dans le punk, le violon et les phrases rythmiques typiques du pays de la Guinness (sans oublier les quelques apparitions de cornemuse).
Un autre élément typique des Dropkick que l’on retrouve également dans cet album, est la présence quasiment systématiquement des chœurs lors des refrains. Un facteur qui renforce l’aspect festif, ingrédient essentiel à l’identité musicale du groupe. En écoutant cet album, il est pratiquement impossible de ne pas battre la mesure avec votre pied /tête /partie du corps de votre choix. On a envie de chanter avec eux et ça fait du bien ! Le seul morceau qui déroge quelque peu à cette règle serait peut-être « We ain’t going home » qui se présente comme une ballade emplie de mélancolie.
Certains titres de l’album s’éloignent un peu du punk et tendent vers la ballade folk (tout en préservant la guitare disto). Malgré tout, les mélodies se ressemblent et régulièrement on retrouve les mêmes schémas d’accords entre plusieurs morceaux.
Rythmiquement parlant, l’album est assez nerveux, le tempo est pratiquement toujours élevé, c’est un album qui donne la patate ! Et c’est grandement dû à l’impressionnant travail du batteur.
En écoutant cet album, et malgré le fait qu’ils soient originaires de Boston, les Dropkick Murphys vous feront voyager entre l’Irlande et l’Ecosse. Tout en vous faisant chanter à tue-tête des hymnes à la joie sur fond de Stouts. Si les titres s’enchaînent et se ressemblent, il n’y en a pas un qui n’est pas une incitation à la bonne humeur et à la fête. C’est un album qui marche et qui est tout à fait légitime dans la discographie du groupe et qui se laisse écouter avec grand plaisir.
Mes trois morceaux coups de cœur :
1) « The boys are back »
Premier titre de l’album, ce morceau donne le ton à toute l’écoute qui va suivre. C’est un morceau plein d’énergie qui va directement vous plonger dans l’univers musicale de l’album et des Dropkick en général.
2) « Don’t tear us apart »
Le morceau débute avec un piano qui introduit le rythme et les accords du morceaux. Véritable ode à l’unisson et à la paix, c’est l’une des chansons les plus marquantes de l’album.
3) « It’s the end of the night »
C’est un peu l’ovni musical de l’album. C’est une ballade aux sonorités folk pleines de mélancolie mais elle clôture parfaitement l’album en accompagnant l’auditeur en douceur hors de celui-ci.
Note : 8/10
Maxime Févry – Le 17 mars 2019
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