Portrait : Oasis – Gallagher comme à la guerre
Gallagher comme à la guerre Oasis Souvent comparé aux Beatles à leurs débuts, Oasis s’est
L’acteur qui ne vieillit pas
Aussi à l’aise derrière la caméra que micro à la main, aussi doué en tant qu’acteur que comme rappeur, Will Smith fait partie des personnalités préférées des Américains et on comprend pourquoi : allure décontractée, sourire de tombeur, rire contagieux et tchatche d’enfer… l’interprète du « Prince de Bel-Air » à tout pour plaire, son charisme n’a d’égal que son talent.
Artiste complet, il possède de nombreuses cordes à son arc. Aussi bien scénariste que producteur, compositeur qu’interprète, il peut se targuer d’être l’un des rares artistes contemporains à avoir brillé dans trois médias différents.
Entre son premier album « Rock the House » sorti en 1987 et le dernier opus de « Bad Boys », il a parcouru du chemin, côtoyé des grands noms du cinéma et pris part à des projets d’envergures dont certains ont donné lieu à des œuvres cultes. De « Independance Day » à « Ali », de « Men in Black » à « Je suis une légende », en passant par « Hancock » et « Aladdin », retour sur une carrière aussi riche que variée menée tambour battant par cet esthète au grand cœur.
« Vous devez y croire. Il n’y a aucune raison d’avoir un Plan B, car il vous détournera du Plan A. »
Contrairement à ce que pourrait laisser penser son titre planétaire « Miami », c’est bien du côté de Philadelphie, dans l’état de Pennsylvanie, que Willard Carroll Smith Jr. a poussé son premier cri le 25 septembre 1968. Il est le second enfant d’une fratrie de quatre, sa mère est surveillante dans une école tandis que son père vend et répare des réfrigérateurs.
C’est dans un cadre plutôt modeste que le petit Will s’épanouit et se dévoile comme un enfant intelligent et sûr de lui. Ses professeurs finissent par le surnommer « Charming Prince » en raison de sa capacité à s’extirper de situations fâcheuses grâce à son bagout et à un certain pouvoir de séduction qui en font vite un élève apprécié de tous.
Au début de l’adolescence, il voue une admiration sans borne à Eddie Murphy dont il connaît toutes les répliques par cœur et commence également à s’intéresser au hip-hop. Passionné de musique, il écume dès seize ans les soirées aux quatre coins du pays et fait la connaissance de Jeffrey Townes lors d’une de ces fêtes à Los Angeles. Très vite, il se lie d’amitié avec ce dernier qui lui apprend les ficelles du métier de DJ ; sur la même longueur d’ondes, ils décident de se produire ensemble, son compère choisi le nom de DJ Jazzy Jeff, quant à Will, il décide de se faire appeler… The Fresh Prince !
Très vite, le duo se fait remarquer par son style peu commun qui mêle musique électronique et hip-hop. Un style humoristique ultra-rythmé qui tranche avec le rap sulfureux de l’époque et plaît aussi bien aux stations de radio qu’aux parents. Le succès est fulgurant : en 1988, leur premier single « Parents Just Don’t Understand » leur vaut un Grammy Award dans la catégorie « Best Rap Performance » tandis que l’album dont il est issu est couronné d’un disque de platine ; ils deviennent aussitôt des stars.
Un nouveau statut qui fait prendre conscience au jeune homme de 18 ans de tout son potentiel ; se sentant pousser des ailes, il se verrait ben acteur !
Ça tombe bien car Hollywood commence à s’intéresser de près à lui et les opportunités ne manquent pas… En 1989, il est contacté par Benny Medina, producteur exécutif de la Warner, qui a imaginé une série librement inspirée de sa vie. Une idée qui séduit Will Smith et abouti à la sitcom « Le Prince de Bel-Air ».
Dès l’année suivante, le show débarque sur NBC pour le succès qu’on lui connait aujourd’hui. Six saisons durant, les spectateurs suivent le quotidien de William, un adolescent des quartiers pauvres de Philadelphie qui débarque chez son oncle à Bel-Air dans un cadre très aisé, une différence sociale qui donne lieu à de nombreux gags. L’accueil est triomphal, l’humour décapant et les situations burlesques séduisent le public ; la série devient culte pour toute une génération alors que le générique, dont il est le compositeur et interprète, fait connaître ses talents de chanteur à l’internationale.
Sur le plan musical, son duo DJ Jazzy Jeff and The Fresh Prince continue de cartonner avec un second album réussi mais en 1993, après l’échec de leur troisième opus « Code Red », Will décide de mettre sa carrière de rappeur entre parenthèses pour se consacrer pleinement au métier d’acteur.
À la production du « Prince de Bel-Air », on retrouve, entre autres, un certain Quincy Jones, connu pour avoir lancé d’immenses carrières dont celle de Michael Jackson. Impressionné par le jeune comédien, le célèbre producteur lui offre l’opportunité d’entamer une carrière au cinéma avec une apparition dans le film « Break Out ». Peu de temps après, il obtient un premier rôle d’envergure dans le remarqué « Six degrés de séparation » (1993) où son personnage se fait passer pour le fils de Sidney Poitier aux yeux d’une famille de riches bourgeois new-yorkais. Une comédie savoureuse qui le voit confirmer tout son potentiel aux côtés d’acteurs confirmés tels que Donald Sutherland et Ian McKellen.
Une performance qui permet à Will Smith d’attirer l’attention de Jerry Bruckheimer, ce dernier voit en lui la personne idéale pour jouer dans « Bad Boys », le premier film du réalisateur Michael Bay. Un film tout en muscles taillé à sa mesure dans lequel il incarne un jeune flic habile et beau parleur ; il forme un duo tout feu tout flamme avec son partenaire Martin Lawrence. Énorme succès commercial, ce film le propulse sur le devant de la scène et lui ouvre les portes des superproductions hollywoodiennes.
En 1996, la conclusion du « Prince de Bel Air » le libère des contraintes du petit écran et lui permet de se consacrer pleinement à sa carrière au cinéma. Il prend alors part au blockbuster « Independance Day » de Roland Emmerich pour y incarner le pilote de l’air Steven Hiller qui fait face à une invasion extra-terrestre ; un rôle pour lequel il s’est fortement inspiré de Han Solo. Dégoulinant de patriotisme, le film rencontre un succès phénoménale et devient à l’époque le second plus gros succès du box-office, juste derrière « Jurassic Park ».
Il fait à nouveau face aux aliens dans la comédie d’action « Men In Black », adaptée du comics du même nom créée par Lowell Cunningham, pour un des rôles les plus cultes de sa carrière. Il dégomme des martiens à tout va dans le costume de l’agent J, bien aidé par son partenaire K, joué par un Tommy Lee Jones à contre-emploi. Le long-métrage de Barry Sonnenfeld connaît un succès considérable, tout le monde garde en mémoire la dégaine ultra classe du duo, costume cintré et lunettes noires ; mais surtout de la bande originale signée… Will Smith.
Un retour à la musique réussi, sorti sur l’album « Big Willie Style », le morceau, simplement intitulé « Men In Black » est un des tubes de l’année 1998, couronné du Grammy Award de la « meilleure performance rap solo » ; sur le même album, on retrouve d’autres grands succès comme « Miami » et « Gettin’ Jiggy Wit It » avec lequel il remporte ce prix pour la seconde année consécutive. L’album cartonne, il est écoulé à 12 millions d’exemplaires à travers le monde et est certifié disque de platine.
Ses succès musicaux ne l’empêchent pas de continuer à perfectionner au cinéma, notamment dans « Ennemi d’État » de Tony Scott. Un thriller d’espionnage grâce auquel l’acteur montre qu’il est bien plus qu’un simple physique avec une facette plus sombre et profonde de sa personnalité. Une performance sérieuse saluée par la critique, Smith vole même la vedette aux grands noms que sont Gene Hackman et John Voight.
Une performance qui en appelle d’autres et lui ouvre d’autres voies, il s’obstine pourtant à s’engager dans des films d’action indigestes en tenant le premier rôle dans « Wild Wild West » (1999), adaptation sur grand écran des « Mystères de l’Ouest ». Une version complètement bâclée de la série culte, un navet sans nom que pas même la popularité de la chanson titre dont il est à nouveau l’auteur ne peut sauver du désastre. Un rôle qui reste à ce jour le plus grand regret de sa carrière, il reconnait avoir cédé au salaire et à la facilité.
Suite à ce revers, l’acteur décide de prendre du recul et plus de temps pour analyser les rôles qu’on lui propose avant de les accepter ; il cherche surtout à se diversifier pour ne pas s’enfermer dans ce registre. C’est ainsi qu’après un court intermède musical marqué par son second album solo « Willenium », à nouveau plébiscité aux Grammy Award, il entame un nouveau chapitre de sa carrière.
D’abord dans la comédie dramatique de Robert Redford « La Légende de Bagger Vance » (2001) aux côtés de Matt Damon et Charlize Theron. Une œuvre sympathique dans laquelle il incarne une sorte d’ange gardien pour un golfeur désabusé, pas forcément le film de l’année mais peu importe, Will Smith démontre un potentiel dramatique encore jamais vu jusque-là.
Ce qui l’amène au rôle de sa vie, celui du légendaire boxeur Mohamed Ali. Une personnalité qu’il aurait déjà pu incarner quelques années auparavant, ce qu’il refusa par respect pour son idole : il ne pouvait pas concevoir qu’on puisse lui proposer un tel rôle alors qu’il n’était « que » le Fresh Prince, ni comment il aurait pu être crédible sous les traits d’un personnage aussi remarquable, en raison de son inexpérience.
Mais lorsqu’on revient vers lui une dizaine d’années plus tard, il n’hésite pas une seconde : il estime avoir atteint une maturité suffisante et est en pleine possession de ses moyens physiques, c’est le moment ou jamais et il sait que le train ne passera pas une troisième fois.
Intitulé sobrement « Ali », le biopic dirigé par Michael Mann offre la consécration à Will Smith, il faut dire qu’il s’est donné afin d’être le plus crédible possible : outre la prise de neuf kilos de masse musculaire, il a rencontré le champion à plusieurs reprises, a étudié sa gestuelle, visionné ses combats et a évidemment suivi un entraînement intensif de boxe. Une préparation d’un an qui porte ses fruits, sa performance puissante, emplie d’une profonde humanité est saluée et lui vaut une nomination méritée à l’Oscar du « meilleur acteur ».
Après une telle partition, nul ne doute encore de son talent, il fait désormais incontestablement partie des grands noms d’Hollywood.
Homme à tout faire, il multiplie les casquettes, en plus d’exercer ses talent comme acteur et chanteur, il décide de s’investir en tant que producteur, majoritairement pour les films auxquels il prend part. Après avoir terminé les tournages des suites de « Men In Black » et de « Bad Boys II », il produit et joue dans deux films diamétralement opposés…
Il interprète un inspecteur futuriste dans le film de science-fiction « I Robot », librement inspirée de l’œuvre du célèbre romancier Isaac Asimov. Puis, en 2005, il est à l’affiche de la désopilante satire sociale « Hitch, expert en séduction », un retour à la comédie réussi pour l’acteur qui retrouve la malice et l’humour qu’on lui connaissait dans « Le Prince de Bel Air », la maturité en plus.
Entre temps, il a pris part au film d’animation « Gang de requins » et son casting cinq étoiles, il y prête sa voix à Oscar, poisson qui a une personnalité similaire au Fresh Prince.
Dans la seconde moitié des années 2000, Will Smith est au sommet de sa carrière, il vit une période faste et enchaîne les bonnes performances dans des films tout aussi efficaces. A commencer par une prestation remarquée dans le mélodrame « A la poursuite du bonheur » aux côtés de… son fils, Jaden, avec qui il a l’immense joie de tourner. Une œuvre touchante nommée à l’Oscar du « meilleur film ».
Il rencontre à nouveau le succès critique et commerciale en 2007 avec « Je suis une légende », librement adapté du roman culte de Richard Matheson et remake du « Le Survivant » de 1971 avec Charlton Heston . Dans ce film post-apocalyptique, il incarne à merveille l’errance de son héros solitaire dans un New York dévasté tout en y apportant une petite touche d’humour bienvenue dans ce contexte anxiogène. Certainement son meilleur rôle depuis « Ali ».
L’année suivante, il est « Hancock », un super-héros pas comme les autre, rempli de bonnes intentions mais souffrant d’alcoolisme et à l’hygiène de vie douteuse. Une bonne surprise dans laquelle l’acteur prend un malin plaisir à lâcher des répliques plus piquantes les unes que les autres entre deux scènes d’action complètement dingues.
En 2008, il retrouve Gabriele Muccino qui l’avait dirigé dans « A la poursuite du bonheur » pour un film du même acabit : « Sept Vies ». Un drame spirituel dans lequel son personnage entreprend une quête pour trouver la rédemption en venant en aide à sept inconnus. L’acteur livre une prestation d’une grande profondeur dans la peau d’un homme torturé. Un film qui a bouleversé le public mais qui a laisser la critique de marbre.
A la suite de cet énième succès et malgré son incroyable régularité et son immense popularité, il décide de s’éloigner quelques temps du monde du cinéma pour se concentrer sur sa vie de famille. Un pause qu’il met également à profit pour produire des films avec son épouse Jada Pincket Smith (« Gotham ») via leur société Overbrook Entertainment, fondée en 1997. Ils produisent entre autre un remake de « Karaté Kid » ; qui met une nouvelle fois son fils Jaden en vedette ; ainsi que la comédie d’espionnage « Target » dans lequel Chris Pine et Tom Hardy se disputent les faveurs de Reese Whiterspoon.
Il revient finalement sur le devant de la scène en 2012 après quatre ans d’absence pour « Men In Black 3 » pour lequel il retrouve Tommy Lee Jones mais l’accueil est très mitigé. Un tournage difficile durant lequel il s’est vu proposer le rôle-titre dans le western de Quentin Tarantino, « Django Unchained », un proposition qu’il rejeta au profit de M. Night Shyamalan et son nouveau projet « After Earth ».
Une incroyable erreur de jugement, le film cartonne dans les salles et est multi-récompensé tandis que Jamie Foxx est l’auteur d’une performance mémorable dans la peau de l’esclave devenu chasseur de prime. Un rôle qui aurait très certainement relancé la carrière de Will Smith, au lieu de ça, « After Earth » est un immense flop en dépit du plaisir qu’il prend à rejouer avec son fils, pire encore, l’acteur est accusé d’avoir pistonné Jaden dont la performance très moyenne est raillée par le public.
Il tient ensuite un petit rôle dans « Un Amour d’Hiver » (2014) aux cotés de Colin Farrell et de Russell Crowe, mais le film passe complètement inaperçu. Pour se relancer, il compte sur « Diversion », un projet plein de promesses, à commencer par son duo de réalisateurs Glenn Ficarra / John Requa et surtout la star montante Margot Robbie avec qui il forme un couple d’escrocs glamour. L’ensemble tient la route mais le long-métrage peine à trouver son public et divise la critique lors de sa sortie en 2015.
Une nouvelle chance de rebondir se présente la même année avec un rôle qui lui tient à cœur dans le biopic « Seul contre tous », celui du Docteur Bennet Omalu, neuropathologiste en médecine légale qui fut le premier à établir un lien entre les lésions cérébrales et la pratique du football américain de haut niveau. Produit par Ridley Scott, le film reçoit des critiques positives et montre le comédien sous un angle nouveau dans la peau d’un personnage malmené mais déterminé, engagé dans un combat digne de David contre Goliath.
Malheureusement, il ne s’agit que d’une éclaircie dans la brume, bientôt suivie d’une nouvelle déception et non des moindres vu l’ampleur du projet et l’énorme attente des fans de comics : « Suicide Squad ». Regroupant une panoplie de super-vilains de l’univers DC Comics, le film de David Ayer est bien en deçà des espérances, trop consensuel et bien moins trash qu’annoncé. Will Smith n’a cependant pas à rougir de sa prestation dans le rôle de Deadshot, il s’avère même assez convaincant pour un premier rôle de méchant mais sa prestation est éclipsée par celle de Margot Robbie, complètement habitée par son rôle d’Harley Quinn, c’est elle qui reçoit toutes les (rares) louanges.
Si sa carrière semble stagner, le talent de l’ex « Prince de Bel-Air » n’est nullement à remettre en cause, le problème vient avant tout de ses choix pas toujours judicieux sans lesquels sa carrière aurait pris une autre tournure. Il est plus facile de chuter que de se relever et la dernière décennie a été compliquée pour bon nombre d’acteurs confirmés (cf : Johnny Depp) et il suffit parfois de peu pour qu’une trajectoire bascule dans un sens comme dans l’autre.
Depuis l’échec de « Suicide Squad », l’acteur semble néanmoins remonter la pente. On le retrouve quelques mois plus tard en tête de gondole de « Beauté Cachée » comédie dramatique touchante au casting bien garni (Edward Norton, Kate Winslet, etc.) qui a séduit le public. Il retrouve ensuite David Ayer pour le polar fantastique « Bright » (2017) produit par Netflix dans lequel il fait équipe avec un elfe… bleu, incarné par Joel Edgerton.
Pourtant c’est un autre personnage bleu qui va relancer pour de bon sa carrière. Après avoir fait partie du jury du Festival de Cannes sous la présidence de Pedro Almodóvar lors de l’édition 2018, il est choisi par Disney dans le rôle du Génie pour la version live-action du film d’animation « Aladdin » de Guy Ritchie.
Il succède ainsi à Robin Williams, une tâche loin d’être aisée tant le regretté acteur incarnait ce personnage à la perfection mais il s’en sort avec brio : il livre une prestation enthousiasmante en y ajoutant une touche personnelle grâce à ses talents de chanteur et de danseur. Si le film rencontre le succès ; le plus important de sa carrière au box-office ; il y est pour beaucoup tant son interprétation du Génie de la Lampe surclasse celles de ses jeunes partenaires.
Depuis lors, sa carrière semble enfin repartir du bon pied, il poursuit en 2019 avec l’ambitieux film de science-fiction « Gemini Man » d’Ang Lee dans lequel il doit faire face à une version rajeunie de lui-même ; le début de l’année 2020 fut marquée par ses retrouvailles avec son pote Martin Lawrence pour « Bad Boys For Life », le troisième volet de la franchise culte, un film aux accents belges puisqu’on le doit au duo de réalisateurs bruxellois Adil El Arbi et Bilall Fallah. Un retour au premier plan qu’il espère poursuivre dès l’année prochaine dans « King Williams » sous les traits de Richard Williams, père des championnes de tennis Venus et Serana : c’est tout le mal qu’on lui souhaite !
Lorsqu’on cherche un qualificatif pour définir un acteur, on utilise des termes comme talentueux, charismatique, drôle ou encore excentrique mais lorsqu’on pense à Will Smith, le premier mot qui vient à l’esprit est… sympathique. De sa première apparition dans « Le Prince de Bel-Air » à sa récente performance de Génie, il donne le sourire à n’importe quels spectateurs qui le regardent, ne laissant personne indifférent grâce à son charme naturel.
Cela n’enlève évidemment rien à son immense talent et à sa fabuleuse capacité d’adaptation. Que ce soit au cinéma ou dans la musique, il a toujours su se mettre en évidence grâce à son énergie débordante et à sa volonté de donner le meilleur de lui-même, peu importe l’ampleur du projet.
Tout au long de sa carrière, il a su se mettre en évidence dans des films aussi cultes que variés : d’abord les blockbusters d’action où son charisme émerveille, puis les drames où il laisse parler sa sensibilité et enfin les comédies où il respire l’enthousiasme, mais par-dessus tout, il subsiste deux prestations inoubliables dans « Je suis une légende » et surtout « Ali », sans conteste son rôle le plus mémorable.
The Fresh Prince est devenu King !
Damien Monami – Le 25 septembre 2020.
Sources Photos :
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