UN DOIGT DANS LE CULTE
because you should watch these movies
nos articles Films Cultes
Critique « Big Fish » (2003) : Le récit d’un mythomane romantique.
Tim Burton livrait avec « Big Fish » un conte incroyable à la puissance mystifiante porté par la plupart des acteurs fétiches de sa filmographie. Retour sur un chef d’œuvre merveilleux et dépaysant.
Critique « V pour Vendetta » (2006) : V pour Vibrant !
Sorti en 2006, « V pour Vendetta » était la troisième adaptation des romans graphiques d’Alan Moore au cinéma.
Un long métrage longtemps fantasmé qui aura acquis au fil des années ses galons de film culte.
Critique « TURKS FRUIT » (« Turkish Délices ») (1973) : Bons Baisers de Hollande.
« Turks fruit » de Paul Verhoeven est l’adaptation à l’écran du roman éponyme de Jan Wolkers, paru en 1969. Le premier succès du cinéaste derrière « RoboCop ». Une oeuvre qui s’inscrit très clairement dans le contexte contestataire et libertaire qui envahit l’Europe de l’Ouest dès la fin des années soixante. Retour sur un film culte.
Critique « Night Call » (2014) : « Profession Reporter ».
« Night Call », le premier long métrage de Dan Gilroy est un pamphlet satirique sur le monde des reporters amateurs. Un thriller porté par la folie d’un Jake Gyllenhaal survolté (et producteur) qui lui vaudra une nomination aux Golden Globes.
Retour sur une œuvre aussi effrayante qu’actuelle.
Critique « Miami Vice » (2006) : Business Man(n).
En 2006, Michael Mann prouvait qu’il adorait ressasser le passé en adaptant sur grand écran sa célèbre série télévisée (il était producteur exécutif) des années 80, « Miami Vice ».
La critique de ce polar crépusculaire et stylistique parfaitement maitrisé.
Critique « Calvaire » (2005) : L’horreur ardennaise.
« Calvaire » est le premier long-métrage du cinéaste belge Fabrice du Welz, un voyage implacable qui marque le corps et l’esprit. Une expérience riche, unique, viscérale et sensorielle, à la fois monstrueuse et irrésistible.
Critique « Scarface » (1983) : Cuban Paradise
« Scarface » de Brian De Palma et porté par un Al Pacino possédé apparaît aujourd’hui comme un film culte qui bénéficie d’une aura indiscutable. Le film fut pourtant décrié à sa sortie américaine en décembre 1983.
Critique « Le Pacte des loups » (2001) : Un pari risqué.
Avec « Le Pacte des loups », Christophe Gans signait un véritable OVNI dans le paysage cinématographique français qui marqua le début des années 2000.